Sa fortune est estimée à plus de 150 millions de dollars et pourtant Miley Cyrus révèle être snobée par les vendeuses des boutiques chics et luxueuses de Rodeo Drive à Los Angeles.C'est au Daily Telegraph que la jeune femme de 22 ans a fait cette étonnante révélation allant jusqu'à comparer ses sessions shoppings à celles de Julia Roberts dans Pretty Woman, qui dans le film n'est visiblement pas la bienvenue dans les boutiques haut de gamme.Se décrivant comme une "controle freak", Miley Cyrus explique dans les colonnes de la publication vouloir gérer au maximum son image : de son maquillage à ses pas de danses libidineux en passant par le choix de ses films (Hannah Montana, LOL USA, Miss Detective) à ses échanges avec ses fans sur les réseaux sociaux, l'artiste veut tout contrôler. Mais, quand il s'agit de mode, Miley Cyrus confie, depuis cinq ans, son style provoc à sa styliste, Simone Harouche. La raison ? Les vendeuses la détesteraient et la malmèneraient comme Julia Roberts version Vivian Ward, la mythique gentille tapineuse de Pretty Woman.Selon la starlette twerkeuse les vendeurs seraient méchants avec elle. Comme dans la romcom des années 90, les prétentieux ne désireraient pas d'elle dans leur cabines d'essayage et lui feraient savoir."Vous avez vu Pretty Woman ? Et bien, en vrai les vendeurs sont pareils" déclare-t-elle allant jusqu'à pointer du doigt leur malfaisance à son égard : "Si vous rentrez dans leurs boutiques, ils font exprès de vous donner les habits les plus moches, les pires looks que vous ayez jamais vus".Se disant "trop franche pour gérer ce genre d'individus" Miley Cyrus évite désormais les boutiques de luxe et laisse le soin de son shopping à sa styliste mais comme le montre ses récents clichés Instagram, ses clips, ses séances photos ou ses débuts dans un Festival de films pornos, avant tout, c'est nue qu'elle préfère être.MC
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