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PHOTOS - Flics : 5 bonnes raisons de regarder la saison 2

Flics : 5 bonnes raisons de regarder la saison 2

Créée par Olivier Marchall, qui fut vraiment flic, la saison 1 de <strong>Flics</strong> avait fait un carton. Les 17 et le 24 novembre,&nbsp;Frédéric Diefenthal et ses "collègues" du 36 Quai des orfèvres reprennent du service sur TF1. Sacrés talents ! <strong>Le succès fou de la saison 1</strong> A TF1, on ne laisse pas en rade un programme qui fédère plusieurs millions de fans. Diffusée en octobre 2008, la première saison de Flics avait attiré 6,2 millions de téléspectateurs en moyenne sur quatre épisodes. Autant dire un succès. Trois ans plus tard, dont 9 mois d?écriture et 48 jours de tournage, et avant même sa diffusion, la saison 2 a déjà reçu le prix de Meilleure série au festival de la Fiction de la Rochelle 2011. Forcément, ça donne envie de jeter un ?il ! <strong>Une histoire hyper-réaliste</strong> L?expérience de l?ex-policier Olivier Marchal, le créateur de Flics, assure à l?histoire un réalisme à toute épreuve, même s?il en a confié l?écriture au scénariste, Simon Jablonka, qui a planché neuf mois. La violence ? nécessaire ? n?y est jamais gratuite. Par ailleurs, aucune scène n?est tournée en studio. Les équipes ont minutieusement cherché des décors naturels à Paris et en région parisienne. Les moyens sont à la hauteur de l?ambition : 6,2 millions d?euros pour 4 épisodes de 52 minutes.&nbsp; <strong>Ça commence fort</strong> Au début du 1er épisode, Yach (Frédéric Diefenthal) sort de prison où il a passé deux ans, complètement déboussolé, viré de la police, seul. A sa sortie, alors que Constantine (Yann Sundberg), son ex-ami avec lequel il partage un très lourd passé, l?attend dans sa voiture, c?est dans celle de Breunière qu?il monte. Breunière, lui aussi viré du 36, a depuis sombré et collabore avec des truands. L?écart va provoquer une tragédie. Léa (Catherine Marchal) est sortie de l?hôpital après avoir frôlé la mort et reprend la tête de la PJ. Quant à Constantine, il est devenu chef de groupe à la BRI. <strong>Olivier Marchal joue les truands</strong> Olivier Marchal se glisse dans la peau d?un personnage central, Dominique Battaglia, un parrain du milieu, un type "dur, mais humain". Il a d?abord refusé le rôle d?un procureur, car il se serait retrouvé à l?écran amant de Catherine? Marchal, son épouse dans la vraie vie. Finalement, il n?auront aucune scène en commun et ne se croiseront sur le plateau que lors de la fête de fin de tournage. <strong>Les gueules de l?emploi </strong> Dans une série, les "seconds" rôles n?ont rien de secondaire ! Ici, le casting est excellent avec Nicolas Grandhomme dans la peau du flic intègre et méthodique. Surtout, on déguste une brochette de formidables "méchants" : Arno Chevrier (Vandersson) a failli jouer dans le premier film de Marchal Gangsters, Igor Skreblin (Gallardo)a été repéré dans la série Pigalle, la nuit, sur Canal+ (ou Marchal avait fait Braquo) et Olivier Chantreau (Petit Serge), qui jouera aussi dans le prochain long métrage de l'ex-flic, Les Lyonnais. Vincent Rousselet-Blanc du magazine Télé 7 jours

Créée par Olivier Marchall, qui fut vraiment flic, la saison 1 de Flics avait fait un carton. Les 17 et le 24 novembre, Frédéric Diefenthal et ses "collègues" du 36 Quai des orfèvres reprennent du service sur TF1. Sacrés talents !Le succès fou de la saison 1A TF1, on ne laisse pas en rade un programme qui fédère plusieurs millions de fans. Diffusée en octobre 2008, la première saison de Flics avait attiré 6,2 millions de téléspectateurs en moyenne sur quatre épisodes. Autant dire un succès. Trois ans plus tard, dont 9 mois d’écriture et 48 jours de tournage, et avant même sa diffusion, la saison 2 a déjà reçu le prix de Meilleure série au festival de la Fiction de la Rochelle 2011. Forcément, ça donne envie de jeter un œil !Une histoire hyper-réalisteL’expérience de l’ex-policier Olivier Marchal, le créateur de Flics, assure à l’histoire un réalisme à toute épreuve, même s’il en a confié l’écriture au scénariste, Simon Jablonka, qui a planché neuf mois. La violence – nécessaire – n’y est jamais gratuite. Par ailleurs, aucune scène n’est tournée en studio. Les équipes ont minutieusement cherché des décors naturels à Paris et en région parisienne. Les moyens sont à la hauteur de l’ambition : 6,2 millions d’euros pour 4 épisodes de 52 minutes. Ça commence fortAu début du 1er épisode, Yach (Frédéric Diefenthal) sort de prison où il a passé deux ans, complètement déboussolé, viré de la police, seul. A sa sortie, alors que Constantine (Yann Sundberg), son ex-ami avec lequel il partage un très lourd passé, l’attend dans sa voiture, c’est dans celle de Breunière qu’il monte. Breunière, lui aussi viré du 36, a depuis sombré et collabore avec des truands. L’écart va provoquer une tragédie. Léa (Catherine Marchal) est sortie de l’hôpital après avoir frôlé la mort et reprend la tête de la PJ. Quant à Constantine, il est devenu chef de groupe à la BRI.Olivier Marchal joue les truandsOlivier Marchal se glisse dans la peau d’un personnage central, Dominique Battaglia, un parrain du milieu, un type "dur, mais humain". Il a d’abord refusé le rôle d’un procureur, car il se serait retrouvé à l’écran amant de Catherine… Marchal, son épouse dans la vraie vie. Finalement, il n’auront aucune scène en commun et ne se croiseront sur le plateau que lors de la fête de fin de tournage.Les gueules de l’emploi Dans une série, les "seconds" rôles n’ont rien de secondaire ! Ici, le casting est excellent avec Nicolas Grandhomme dans la peau du flic intègre et méthodique. Surtout, on déguste une brochette de formidables "méchants" : Arno Chevrier (Vandersson) a failli jouer dans le premier film de Marchal Gangsters, Igor Skreblin (Gallardo)a été repéré dans la série Pigalle, la nuit, sur Canal+ (ou Marchal avait fait Braquo) et Olivier Chantreau (Petit Serge), qui jouera aussi dans le prochain long métrage de l'ex-flic, Les Lyonnais.Vincent Rousselet-Blanc du magazine Télé 7 jours