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PHOTOS - Nathalie Renoux : dans les coulisses de son JT

Nathalie Renoux : dans les coulisses de son JT

<strong>L?info du week-end, c?est elle&nbsp;! La rédaction de Télé 7 Jours a suivi Nathalie Renoux dans la préparation et la présentation de son JT sur M6. Dix-huit minutes d?actu menées tambour battant&nbsp;!</strong> <strong>18.00</strong> Une salle de rédaction, immense open space parsemé de bureaux, le bruit des doigts qui tapotent sur les claviers... On devine la voix de Nathalie Renoux derrière un écran. Une tasse de thé devant elle, elle peaufine à voix haute la vingtaine de textes de son JT. Les lancements des sujets, les transitions, les questions pour l?invité. Depuis la conférence de rédaction du matin, elle sait vaguement à quoi ressemblera le 19.45. En ce soir de novembre, un fait-divers en Bretagne, une mère infanticide, et le huitième titre de champion du monde des rallyes pour Sébastien Loeb bouleversent la hiérarchie de l?information. Alors, elle tricote et retricote son journal avec le rédacteur en chef. Pas de stress, juste ce soupçon d?adrénaline qui pimente le job. Nathalie file voir sa consoeur en charge de la culture pour une précision sur le prochain album de C?ur de pirate. Son JT, c?est de la concision avant tout. Des phrases courtes, le mot juste. Car le temps manque toujours. <strong>19.00</strong> Le temps s?accélère. Les yeux rivés sur l?horloge, Nathalie rejoint le troisième sous-sol. Elle troque ses bottines pour des talons aiguilles et se glisse dans un chemisier blanc. Dans le salon de maquillage, pose détente auprès de Sandrine, la fidèle maquilleuse avec qui elle parcourt la France pour le tournage de <em>Coupable, non coupable</em> (M6), l?émission de fait-divers. Entre deux éclats de rires, Nathalie évoque ses enfants de 3 et 9 ans. "<em>Travailler le week-end nécessite une organisation particulière. Mais cela me permet d?être avec eux la semaine. Je peux vérifier leurs devoirs</em>", dit-elle en riant. À la maison, pas question de parler boulot. Même si Monsieur Renoux est également journaliste à la rédaction. "Lui aurait tendance à vouloir discuter du journal. Moi, beaucoup moins." <strong>19.30</strong> Un bonsoir à la dizaine de personnes en régie, une dernière mise au point avec Stéphane Gendarme, le directeur de la rédaction, et la voilà sur le plateau du studio Jean Drucker. Cinq caméras autour d?elle et autant de prompteurs. Des marques au sol pour lui indiquer les lieux où elle doit se poser. Sur sa tablette numérique, ses textes et toutes les indications de mise en scène. Contrairement aux 20H de TF1 et France 2, ces 18 minutes d?info nécessitent une préparation particulière. Entre les infographies, les titres incrustés, les invités et les déplacements en plateau de Nathalie, pas de place pour l?à-peu-près. Elle répète son JT comme d?autres une pièce de théâtre. Un JT factice qui se termine une minute avant de prendre l?antenne. Et c?est parti pour le grand saut en direct et le vrai journal. Les minutes filent au gré des infos. Fin de l?exercice et retour en salle de rédaction pour un débriefing mené par Stéphane en présence des reporters. Une séance d?autocritique sans concession et sans ego. Il est 20.30. Nathalie enfile son manteau. Au café d?à côté, l?équipe l?attend pour un verre. Le temps peut enfin reprendre son cours. Eva ROQUE de Télé 7 Jours

Nathalie RENOUX

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L’info du week-end, c’est elle ! La rédaction de Télé 7 Jours a suivi Nathalie Renoux dans la préparation et la présentation de son JT sur M6. Dix-huit minutes d’actu menées tambour battant !18.00Une salle de rédaction, immense open space parsemé de bureaux, le bruit des doigts qui tapotent sur les claviers... On devine la voix de Nathalie Renoux derrière un écran. Une tasse de thé devant elle, elle peaufine à voix haute la vingtaine de textes de son JT. Les lancements des sujets, les transitions, les questions pour l’invité. Depuis la conférence de rédaction du matin, elle sait vaguement à quoi ressemblera le 19.45. En ce soir de novembre, un fait-divers en Bretagne, une mère infanticide, et le huitième titre de champion du monde des rallyes pour Sébastien Loeb bouleversent la hiérarchie de l’information. Alors, elle tricote et retricote son journal avec le rédacteur en chef. Pas de stress, juste ce soupçon d’adrénaline qui pimente le job. Nathalie file voir sa consoeur en charge de la culture pour une précision sur le prochain album de Cœur de pirate. Son JT, c’est de la concision avant tout. Des phrases courtes, le mot juste. Car le temps manque toujours.19.00Le temps s’accélère. Les yeux rivés sur l’horloge, Nathalie rejoint le troisième sous-sol. Elle troque ses bottines pour des talons aiguilles et se glisse dans un chemisier blanc. Dans le salon de maquillage, pose détente auprès de Sandrine, la fidèle maquilleuse avec qui elle parcourt la France pour le tournage de Coupable, non coupable (M6), l’émission de fait-divers. Entre deux éclats de rires, Nathalie évoque ses enfants de 3 et 9 ans. "Travailler le week-end nécessite une organisation particulière. Mais cela me permet d’être avec eux la semaine. Je peux vérifier leurs devoirs", dit-elle en riant. À la maison, pas question de parler boulot. Même si Monsieur Renoux est également journaliste à la rédaction. "Lui aurait tendance à vouloir discuter du journal. Moi, beaucoup moins."19.30Un bonsoir à la dizaine de personnes en régie, une dernière mise au point avec Stéphane Gendarme, le directeur de la rédaction, et la voilà sur le plateau du studio Jean Drucker. Cinq caméras autour d’elle et autant de prompteurs. Des marques au sol pour lui indiquer les lieux où elle doit se poser. Sur sa tablette numérique, ses textes et toutes les indications de mise en scène. Contrairement aux 20H de TF1 et France 2, ces 18 minutes d’info nécessitent une préparation particulière. Entre les infographies, les titres incrustés, les invités et les déplacements en plateau de Nathalie, pas de place pour l’à-peu-près. Elle répète son JT comme d’autres une pièce de théâtre. Un JT factice qui se termine une minute avant de prendre l’antenne. Et c’est parti pour le grand saut en direct et le vrai journal. Les minutes filent au gré des infos. Fin de l’exercice et retour en salle de rédaction pour un débriefing mené par Stéphane en présence des reporters. Une séance d’autocritique sans concession et sans ego. Il est 20.30. Nathalie enfile son manteau. Au café d’à côté, l’équipe l’attend pour un verre. Le temps peut enfin reprendre son cours.Eva ROQUE de Télé 7 Jours