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Scarface : 15 anecdotes sur le film culte de Brian De Palma

L'inspiration d'Oliver Stone

<p>Selon le magazine britannique <em>Complex</em>,<strong> <link object_id="76248">Oliver Stone</link>,</strong> le scénariste, s'est inspiré pour ce film de son propre passé de consommateur de drogues. Certaines scènes ont d'ailleurs directement été puisées dans ses propres souvenirs. </p>

Un hommage à son idole

<p>Alors que le malfrat cubain s'appelle Tony Camonte dans le film original, <link node_id="80103"><strong>Oliver Stone</strong></link> le renomme <link node_id="92483"><strong>Tony Montana</strong></link> dans le <link node_id="2108335"><strong>Scarface</strong></link> de <link node_id="101434"><strong>Brian De Palma</strong></link>. Une façon de rendre hommage à l'une de ses idoles, le footballeur américain <link node_id="93021"><strong>Joe Montana</strong></link>.</p>

Une pause de deux semaines

<p>Durant la scène de fusillade finale, <link node_id="94385"><strong>Al Pacino</strong></link> s'est sévèrement brûlé à une main en touchant le canon d'un flingue. On peut d'ailleurs le voir hurler à l'écran lorsqu'il touche l'arme. Loin d'être anecdotique, cette blessure a contraint le comédien à s'éloigner pendant deux semaines du tournage.</p>

Une comédie musicale à la poubelle

<p>C'est un tout autre film qui attendait <link node_id="101434"><strong>Brian De Palma</strong></link> lorsqu'on lui a proposé <link object_id="133750">Scarface</link>. Le réalisateur s'apprêtait à mettre en images la comédie musicale <link object_id="127269">Flashdance</link>. Un projet qu'il abandonna, laissant les manettes du film à <link node_id="79420"><strong>Adrian Lyne</strong></link>. </p>

Une mère pas si âgée

<p>Si <link node_id="63222"><strong>Miriam Colon</strong></link> incarnait à l'écran la mère d'<link node_id="94385"><strong>Al Pacino</strong></link>, dans la vie, l'écart d'âge entre les deux acteurs était loin d'être important. Elle n'avait en effet que quatre ans de plus que son fils de fiction.</p>

Des morts en pagaille

<p>Selon un décompte fait par IMDB, quarante-deux personnes se font descendre dans le film de Brian De Palma.</p>

Des instructions en espagnol

<p>Pour parfaire son accent, <link node_id="94385"><strong>Al Pacino</strong></link> a pu compter sur l'aide de <link node_id="2513843"><strong>John Alonzo</strong></link>, le directeur de la photographie qui devait lui parler exclusivement en espagnol.</p>

Fuck, Fuck, Fuck

<p>Les insultes sont au rendez-vous dans le film. Selon <link target="_blank" url_id="588669"><em>Scarface1983</em></link>, un site de fans consacré au long-métrage, il y a 218 <em>Fuck</em> au total (226 selon d'autres décomptes) - 99 <em>Fuck</em>, 4 <em>Motherfucker,</em> 101 <em>Fucking</em>, 12 <em>Fucked</em> et 2 <em>Fucker</em>). Ce ne sont d'ailleurs pas les seules insultes présentes puisqu'il y a entre autres 19 <em>Shit,</em> 8 <em>Assholes</em> ou encore 5 <em>Son of a bitch.</em> </p>

Un titre marketing

<p>Si <link object_id="133750">Scarface</link> est le surnom donné à Al Capone, le personnage incarné par <link node_id="94385"><strong>Al Pacino</strong></link> ne fait pas directement référence au célèbre gangster. C'est en tout cas ce qu'a affirmé l'auteur du scénario du premier <link object_id="2290146">Scarface</link> sorti en 1932, <link node_id="1005790"><strong>Ben Hecht</strong></link>, lorsque deux sbires de Capone sont venus demander des comptes dans sa chambre d'hôtel pendant le tournage. Le scénariste les a rassurés en expliquant avoir choisi <em>Scarface</em> pour attirer les spectateurs dans les salles en leur faisant croire qu'il s'agissait d'un film sur Al Capone alors qu'il puisait dans la vie d'autres mafieux.</p>

L'embrouille de De Palma

<p>Pour que son film classé "interdit aux moins de 17 ans" puisse sortir au cinéma sous la mention "les moins de 17 ans doivent être accompagnés d'un adulte", <strong><link object_id="97579">De Palma</link> </strong>a fait des modifications à trois reprises avant d'organiser, pour sa quatrième tentative, une projection avec des policiers et spécialistes de la pègre pour montrer que tout était réaliste. Une fois obtenue la mention qu'il souhaitait, le réalisateur a profité du fait que ses producteurs ne connaissaient pas les différentes versions pour sortir au ciné le film à peine coupé. Selon le producteur Martin Bregman, une seule scène a été enlevée au final.</p>

Le non de Miami

<p>Ville accueillant de nombreux Cubains, Miami a opposé une fin de non recevoir à l'équipe du film qui voulait tourner dans la ville. Un refus motivé par la volonté de la municipalité de ne pas froisser les habitants et de ne pas décourager le tourisme. C'est donc à Los Angeles qu'a été tourné <link object_id="133750">Scarface</link>.</p>

L'origine de "yeyo"

<p>Le terme "yeyo" désignant la cocaïne, n'était pas présent dans le scénario d'<link node_id="80103"><strong>Oliver Stone</strong></link>. C'est <strong><link object_id="90530">Al Pacino</link></strong> qui a utilisé ce surnom, appris lorsqu'il travaillait son accent cubain, dans l'une de ses premières scènes avec de la drogue. Séduit, le réalisateur a donné son feu vert pour le conserver.</p>

Steven Spielberg derrière la caméra

<p>De passage sur le plateau au moment du tournage de la scène finale de <link object_id="133750">Scarface</link>, <link node_id="94331"><strong>Steven Spielberg</strong></link> a profité de l'occasion pour jouer les cadreurs en se glissant derrière une des caméras. </p>

Glenn Close, pas assez pute

<p>Si le rôle d'Elvira a été raflé par <link node_id="95949"><strong>Michelle Pfeiffer</strong></link>, c'est <link node_id="79597"><strong>Glenn Close</strong></link> qui était le premier choix de l'équipe. Mais les producteurs ont mis leur veto, jugeant qu'elle ne ferait qu'à moitié <em>"salope". </em></p>

Des refus en pagaille

<p>De nombreux acteurs ont refusé de prendre part à ce projet. <link node_id="102143"><strong>Robert de Niro</strong></link> a ainsi refusé d'incarner <link node_id="92483"><strong>Tony Montana</strong></link>. <link node_id="79608"><strong>Melanie Griffith</strong></link>, <link node_id="79768"><strong>Rosanna Arquette</strong></link>, <link node_id="68475"><strong>Jennifer Jason Leigh</strong></link>, <strong><link node_id="79586">Kathleen Turner</link>?</strong> <strong><link node_id="80080">Kim Basinger</link> </strong>ou encore <link node_id="95988"><strong>Jodie Foster</strong></link> ont toutes refusé le rôle d'Elvira Hancock. Tout comme <link node_id="111365"><strong>Brooke Shield</strong></link> contrainte de laisser tomber le projet car sa mère ne voulait pas la voir dans ce film. </p>

Plongez au coeur des coulisses du long-métrage de Brian De Palma avant sa diffusion ce soir à 22h45 sur D8.De la coke à gogo, une bonne dose de sang et une peinture frappante de la mafia. Scarface c'est tout ça, et bien plus encore. C'est un film brutal et sans pitié. C'est un film à la mise en scène magistrale et à la BO marquante. C'est un film porté par l'interprétation d'Al Pacino dans le rôle de Tony Montana, un mafieux cubain aux dents longues qui ose tout pour arriver au sommet aux Etats-Unis. On pourrait continuer longtemps comme ça à décrire avec nos mots la puissance du film de Brian De Palma. On vous épargnera la longue liste des choses qui font de Scarface ce qu'il est. Vous comme nous savez à quel point le remake de Scarface d'Howard Hawks est un petit bijou. Devenu un film culte au fil des années, le long-métrage porté par Al Pacino est connu de tous. On ne se lancera donc pas dans une critique déjà vue et revue pour annoncer son retour sur le petit écran. Pour patienter jusqu'à sa diffusion prévue ce soir à 22h45 sur D8, on a choisi de mettre en avant les anecdotes de ce film incontournable.  L'histoire de Scarface de Brian De Palma : Tony Montana est un tueur mégalomane cubain. Lorsque Fidel Castro ouvre les frontières cubaines en mai 1980, Tony débarque en Floride où, plein d'ambition, il se met au service d'un caïd de la drogue : Frank Lopez. Très vite, Tony fait sa place et finit par prendre celle de Lopez en le tuant et en épousant sa femme, Elvira Hancock. Parvenu au sommet, il devient très paranoïaque et succombe à la drogue. Elvira le quitte et Tony s'enferme dans sa villa, entouré de gardes du corps. Il ne vit que pour sa soeur, Gina, qu'il vénère d'un amour incestueux. Le FBI l'a dans le collimateur.La bande annonce du film :