Exam

Huit candidats passent un test d’embauche. Mais si aucune question n’est posée, comment donner une réponse ? Certains rebondissements trop prévisibles gâchent un peu l’expérience, mais on se laisse quand même prendre au jeu de ce thriller anglais à minibudget. Le parti pris de ne pas sombrer dans l’horreur est honorable, les acteurs y croient, la mise en scène est soignée et la tension psychologique, au coeur du projet, bien palpable. Mais le concept, aussi prometteur soit-il, finit par tourner en rond, jusqu’à un dénouement des plus banals.

Un huis clos casse-tête qui tient le spectateur de bout en bout.

Ce drame psychologique, oppressant présente des imperfections. Mais l’écriture du scénario est particulièrement ingénieuse et économique.

Un thriller psychologique bien ajusté, avec une pointe de science-fiction. Une idée remarquable

Le film souffre de personnages insipides, de médiocres performances et d’un dénouement qui nous entraîne à nous poser des questions plutôt que d’avoir la réponse.

Carte de visite assez bluffante en termes de technique (le pari du huis clos est tenu avec une très finaude virtuosité), un peu moins côté scénario (le twist final déçoit), ce premier film contient des promesses dont on pourrait bien entendre parler à l’avenir.

Une série B sans prétention qui s'apprécie.

Ce premier film de Stuart Hazeldine est un huis clos sobrement mis en scène pour valoriser un scénario remarquable d'inventivité : un excellent divertissement, et des débuts prometteurs.

Un film à petit budget mais bien ficelé, un mélange de « Cube » et «12 Hommes en colère » avec quelques influences de la romancière Agatha Christie et du critique littéraire Terry Eagleton sur l’écriture .

Un curieux thriller un peu irrégulier…

Tout est légèrement mystérieux et déséquilibré.

Une touche d’humour noir, d’importants pièges mis au point et un mystère qu’on peut qualifier…d’intéressant.

On part avec l’ultime conviction qu’un petit effort supplémentaire sur l’écriture du scénario aurait permis de faire la différence.

Stuart Azeldine rend un film à petit budget et au casting modeste, un thriller bien ficelé où tout est concentré sur la résolution du puzzle

Techniquement bien fait, plutôt correctement interprété, Exam souffre d’une mécanique de scénario ampoulée dont on a déjà vu les rouages, en bien meilleur, ailleurs. Un exemple typique du film qui aurait du être traité en moyen métrage.

(...) cette parabole théâtrale sur le côté obscur de la nature humaine est trop caricaturale, trop artificielle pour être dérangeante.

Ces étudiants sont censés être intelligents mais ils commettent des erreurs qu’une personne lambda aurait probablement évité, on sait comment de telles situations évoluent généralement puisque vues dans d’autres films. Et tout ceci devient encore plus ridicule au dénouement.

Mettant en scène l'entretien d'embauche le plus absurde et inepte jamais tourné, le concept-movie Exam nous rappelle que dans concept, il y a con.