Toutes les critiques de L'Oeil du Cyclone

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    Surenchère de vociférations, gros plans sur les lézardes et les moisissures : cette comédie noire familiale datant de 2011 aurait dû rester inédite.

Les critiques de la Presse

  1. Pariscope
    par Arno Gaillard

    Avec ce rôle de vieille dame très digne et manipulatrice, « L’oeil du cyclone » offre à Charlotte Rampling l’occasion de nous toucher une nouvelle fois par la qualité de son jeu. A ses côtés, Geoffrey Rush et Judy Davis interprètent ces deux adultes qui, comme tous les adultes, restent à jamais des enfants pour leur mère. On ne peut qu’admirer le jeu et la classe de ces grands acteurs anglo-saxons, une véritable leçon pour les Latins que nous sommes.

  2. La Croix
    par Marie Soyeux

    Adaptation d’un roman de Patrick White, Prix Nobel de Littérature, ce film déploie dans une mise en scène raffinée toute la violence dont le langage est capable.

  3. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Adaptant le roman éponyme de Patrick White, Fred Schepisi fait un film oppressant, au point de maintenir une impression de huis-clos même dans les scènes en extérieur, dans les paysages majestueux d'Australie.

  4. Le JDD
    par Danielle Attali

    Adapté du roman de Patrick White, L’Œil du cyclone distille un parfum un peu suranné. On peut aimer les décors, la mise en scène victorienne. Mais l’intrigue s’étire en dépit de l’excellente interprétation de Charlotte Rampling, étonnante, et de dialogues plutôt fins.

  5. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Ce drame vraiment féroce et diabolique est formidablement interprété, en particulier par une Charlotte Rampling étonnante.

  6. Toutlecine.com
    par Yérim Sar

    Les retrouvailles d'une famille qui hésite entre recoller les morceaux et régler ses comptes, tel est le thème du film de Fred Schepisi. Si tout n'est pas parfait dans le long-métrage, difficile d'échapper à la justesse de l'interprétation des acteurs.

  7. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Malgré quelques dialogues bien sentis, cette petites famille antipathique finit par ennuyer ses domestiques comme les spectateurs.

  8. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Fred Schepisi, cinéaste classique, n’était sans doute pas l’homme de la situation pour traduire les audaces narratives de Patrick White. Son adaptation ne tient que par l’interprétation dantesque de Charlotte Rampling.

  9. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Si le style est trop ampoulé, cette histoire de famille, adaptée d’un roman de l’écrivain australien Patrick White (lauréat du prix Nobel de littérature), s’avère néanmoins d’une belle subtilité.

  10. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    Fred Schepisi, cinéaste classique, n’était sans doute pas l’homme de la situation pour traduire les audaces narratives de Patrick White. Son adaptation ne tient que par l’interprétation dantesque de Charlotte Rampling.

  11. Télérama
    par Pierre Murat

    D'après un Prix Nobel (Patrick White), un roman photo suranné et académique où toutes les stars font des apparitions glacées. Rampling s'en sort grâce aux flash-backs où elle resplendit...