Toutes les critiques de Swandown (Documentaire)

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Le réalisateur et un écrivain naviguent en pédalo de Hastings, sur la côte anglaise, vers Londres. Un documentaire iconoclaste, vaguement sociologique. Vain, surtout.

Les critiques de la Presse

  1. Les Inrocks
    par Vincent Ostria

    Après s’être aventuré dans la fiction avec des projets un peu incongrus, Andrew Kötting revient à ce qui lui a le mieux réussi : le documentaire. Un type de documentaire très particulier, qui tient à la fois de l’essai poétique et du voyage picaresque.

  2. Le Canard Enchainé
    par David Fontaine

    Un film délirant et profond, une croisade contre le monde actuel, à contre-courant des idées toutes faites.

  3. StudioCiné Live
    par Sandra Benedetti

    Un road trip à dos de cygne curieux mais dispensable.

  4. Critikat.com
    par Olivia Cooper-Hadjian

    Pour excentrique qu’il soit, Swandown parvient rapidement à nous faire entrer dans son rythme. Le film lui-même est, en quelque sorte, performatif : en épousant l’itinéraire des navigateurs, nous en ressentons la durée et sommes amenés à percevoir, nous aussi, les sourdes vibrations d’une société à travers ses lieux.

  5. Le Monde
    par Sandrine Marques

    Burlesque, décalée et œcuménique, l'odyssée se fait métaphysique et culturelle. Et c'est de loin le projet le original qu'il nous a été donné de voir parmi les nombreux films se déroulant sur l'eau cette année.

  6. Télérama
    par Nicolas Didier

    Auteur de documentaires hors norme, Andrew Kötting a remonté les rivières d'Angleterre à bord d'un pédalo en forme de cygne. Une odyssée absurde et métaphysique, ponctuée de digressions poétiques, à travers la campagne et les friches industrielles.

  7. Les Fiches du cinéma
    par François Barge-Prieur

    Performance absurde de deux héritiers des situationnistes, ce film sympathique mais devient lassant, en raison d'un manque cruel de construction.

  8. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Au-delà de l'inutilité des divagations et de la vacuité du propos, il manque finalement l'essentiel : une proposition de cinéma.

  9. A voir à lire
    par Virgile Dumez

    N’illustrant jamais son propos – quel est-il d’ailleurs ? – le filmage en mode guérilla (entendez par-là que la caméra est sans cesse chahutée) n’arrange rien à l’affaire et si l’on reste évidemment en empathie avec l’expérience menée par ces fous de la pédale, il faut bien avouer que leur film nous laisse totalement de marbre.