Date de sortie 15 juin 2022
Durée 106 mn
Réalisé par Magnus von Horn
Avec Magdalena Koleśnik , Julian Świeżewski , Aleksandra Konieczna
Scénariste(s) Magnus von Horn
Année de production 2020
Pays de production POLOGNE, Suède
Genre Drame
Couleur Couleur

Synopsis

Trois jours dans la vie de la coach de fitness Sylwia Zajac, une célébrité des réseaux sociaux entourée d'employés et d'admirateurs fidèles, mais qui recherche simplement calme et intimité.

Toutes les séances de Sweat

Critiques de Sweat

  1. Première
    par Frédéric Foubert

    « Tout le monde l’adore. Personne ne l’aime », dit la tagline sur l’affiche, pour résumer la situation. Sylwia est une coach sportive jeune, blonde, belle, athlétique, une influenceuse très populaire suivie par 600 000 abonnés. Mais quand vient le soir, et qu’elle éteint son smartphone, elle n’a plus personne à qui parler… Porté par l’énergie de l’actrice Magdalena Kolesnik, le début de Sweat intrigue, mais le film finit par s’égarer dans des scènes trop longues, nébuleuses, donnant une impression d’improvisation, où l’exhibitionnisme de Sylwia est mis en parallèle avec celui d’un harceleur qui se masturbe dans une voiture garée en bas de chez elle. Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.

  2. Première
    par Frédéric Foubert

    « Tout le monde l’adore. Personne ne l’aime », dit la tagline sur l’affiche, pour résumer la situation. Sylwia est une coach sportive jeune, blonde, belle, athlétique, une influenceuse très populaire suivie par 600 000 abonnés. Mais quand vient le soir, et qu’elle éteint son smartphone, elle n’a plus personne à qui parler… Porté par l’énergie de l’actrice Magdalena Kolesnik, le début de Sweat intrigue, mais le film finit par s’égarer dans des scènes trop longues, nébuleuses, donnant une impression d’improvisation, où l’exhibitionnisme de Sylwia est mis en parallèle avec celui d’un harceleur qui se masturbe dans une voiture garée en bas de chez elle. Tout à son discours sur les réseaux sociaux, tour à tour décrits comme oppressants et libérateurs, Magnus von Horn ne parvient pas à trouver la clé émotionnelle qui nous permettrait de compatir à la détresse existentielle de son héroïne.